• 2014.10.29 – 2014.12.31 SABAM (Bruxelles)
• 2012.05.26 – 2012.09.16 Musée de la Photographie (Charleroi)
Tag Archives: exposition
radio – Le Point du Jour
Interview radio de Jean-François Spricigo par Pascal Goffaux à l’occasion de l’exposition romanza au Musée de la Photographie de Charleroi.
Diffusée le 06 juin 2012 durant l’émission Le Point du Jour de Musiq3 (RTBF).
Durée : 11min 07sec
bestiaire
• 2011.05.05 – 2011.07.04 Bestiaire, Galerie Maeght (Paris)
exposition collective :
Yann Arthus Bertrand
Nicolas Bruant
Jean-Marc Coudour
Michel Vanden Eeckhoudt
Elliot Erwitt
Frank Horvat
Sarah Moon
Paul Sarosta
Jean-François Spricigo
Joel-Peter Witkin
et
Peinture de Jacques Monory, sculptures de Ruth Adler
ensemble !
• 2012.02.28 – 2012.03.11 Crossroad Gallery (Shinjuku)
• 2011.07.01 – 2011.08.10 SER Gallery (Tokyo)
exposition collective :
Claude Alexandre
Martin Becka
Nadia Benchallal
Philippe Bertin
André Boulze
Pascal Elliott
Jean-Pierre Favreau
Flora
François Fontaine
François Gillet
Françoise Huguier
Irina Ionesco
Dominique Mérigard
Sarah Moon
Claude Nori
Catherine Noury
Françoise Nuñez
Bernard Plossu
Elizabeth Prouvost
Hervé Saint Hélier
Philippe Salaün
Jacqueline Salmon
Barbara Sieff
Jeanloup Sieff
Sonia Sieff
Jean-François Spricigo
Claire de Virieu
en famille
• 2011.05.28 – 2011.08.28 Libera Accademia di Belle Arti (Brescia, Italie)
• 2010.01.06 – 2010.03.04 Maison de la Culture (Tournai, Belgique)
Mon Ami
par Marcel Moreau
À l’intime de ses sens en éveil, il y a déjà ce « léger tremblement du regard » au bout duquel le visible, à coup sûr, commencera une autre vie, plus vraie que la précédente à la remorque de ses seules apparences. Le regard insiste, le « léger tremblement » de même : il en résulte un invisible dont les épiphanies s’obtiennent tantôt au « grattage », tantôt à l’« arraché, ou encore à la « caresse ».
La photographie, chez Jean-François Spricigo, semble bel et bien avoir été précédée un bref instant – l’instant d’une fulgurance – d’un regard tourné vers ses propres profondeurs, de chair et de sang. L’œil intérieur sait ce qu’il fait, et pourquoi il le fait, quand il conditionne l’acuité de sa perception à l’expérience qu’il a des plongées vertigineuses dans les fosses abyssales du corps, là où se situe tel visage englouti de lui-même au départ de toutes ses transfigurations. Je connais cela aussi en littérature, lorsque, par exemple, les mots en train de s’écrire tirent l’essentiel de leur vérité des mouvements qu’imprime à leur contenu ma vie organique, en prise sur les « entrailles » du langage. Il est des moments où un art, quel qu’il soit, n’est jamais plus péremptoire qu’au détour des « phénomènes atmosphériques » qu’il provoque en faisant se rencontrer dans une anatomie donnée la violence d’un « putsch » et la délicatesse d’une poésie.
J’ai déjà eu l’occasion de dire et d’écrire tout le bien que je pensais du talent de Jean-François, à quoi j’ajoute le prix que j’attache à son amitié. Je ne me sens pourtant pas suffisamment « de mon temps » pour accorder aux images une attention plus considérable que celle que requièrent les mots.
Mais ses images à lui ont du « vocabulaire ». Leur auteur lit, aime lire, il en reste quelque chose dans le son qu’elles émettent, pour qui a l’oreille fine. De par ce son, elles m’invitent irrésistiblement à m’y arrêter, outre qu’elles ont le don, mine de rien, de ne jamais laisser indifférente mon aventure personnelle, vécue à haute température, entre Verbe et Vénus.
J’ai évoqué à leur propos, au début de ce texte, un « léger tremblement du regard ». Léger mais point volatile, puisqu’il est à l’origine de quelque salubres perturbations, infligées à l’esprit de géométrie sitôt que ce dernier prend sa part des illusions d’optique. Que l’on me comprenne bien, par « léger », j’entends une gravité (un largo ?) mettant ses pas dans ceux d’un dansable (en somme une clairvoyance donnant des signes de lévitation… ). Quant au tremblement, son épicentre et ses répliques sont sans doute à chercher du côté d’une révolte de tous les sens devant la réalité du monde tel qu’il est et qu’il va, davantage que du côté de leur dérèglement, l’art des secousses libératrices y gagne ses lettres de noblesse.
C’est beau, fort et inaugural à la fois…
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Publication
2010
• en famille, catalogue de l’exposition
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Presse papier
2010
• 03.09 Le Courrier
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Presse radio
2010
• 02.10 La Première – Journal de 13h
• 02.06 Musiq 3 – Journal de 13h
Presse TV
2010
• 01.23 No Télé – Info HO
le cheval
• 2011.03.23 – 2011.04.24 le cheval, Galerie Tarquinia (Trouville-sur-Mer, France)
12 photographes issus d’une anthologie amoureusesur le thème du cheval. Ouvrage conçu et réalisé par Robert Delpire.
Exposition collective avec :
Antoine Agoudjian
Henri Cartier Bresson
Elliott Erwitt
Sarah Moon
Marc Riboud
Guy Le Querrec
Philippe Lopparelli
Sebastiao Salgado
Jean-François Spricigo
Michel Vanden Eeckhoudt
Giampaolo Vimercati
Zsuzsanna Wagenhoffer
miroirs de l’intime
• 2011.03.23 – 2011.04.24 Contretype (Bruxelles)
Exposition collective avec :
Jean-Paul Brohez
Michel Castermans
Thomas Chable
Daniel Desmedt
François Goffin
Philippe Herbet
Alain Janssens
Chantal Maes
Armyde Peignier
Pol Pierart
Lucia Radochonska
Jean-François Spricigo
Satoru Toma
Jean-Louis Vanesch
L’exposition réunit un choix significatif de photographies extraites de 14 expositions monographiques présentées et diffusées par Contretype entre 2004 et 2011 et ayant fait l’objet d’une publication chez divers éditeurs en Communauté française.
Plus qu’une simple compilation, il s’agit dans cette exposition de mettre en lumière les liens entre des auteurs aux pratiques très différentes et d’affirmer (encore et toujours) les spécificités de la photographie d’auteur.
Le titre choisi pour cette exposition est significatif.
Si nous retenons comme définition du mot miroir «une surface servant à réfléchir la lumière de façon à produire l’image des personnes et des choses» ou, de façon plus abstraite, «ce qui offre à l’esprit l’image, la représentation des personnes, des choses, du monde»*, nous pouvons considérer que le mot miroir est un synonyme de photographie.
Quant à la notion d’intime, elle est à prendre à la fois dans le sens d’intérieur: «ce qui est contenu au plus profond d’un être»* et dans celui de l’expression de convictions les plus profondes.
Ce qui nous éloigne définitivement d’un regard formaté pour et par les normes de la communication.
Si tout est dit, reste à voir !
Jean-Louis Godefroid
partir
• 2011.03.23 – 2011.10.31 Délégation Wallonie-Bruxelles (Pragues)
armonia
• 2011.01.20 – 2011.04.16 Chambre Claire (Annecy, France)
armonia, agencement entre les parties d’un tout, de manière qu’elles concourent à une même fin. L’harmonie des corps vivants.
Exposition de Marie Sordat et Jean-François Spricigo.
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Presse papier
2011
• 02.01 Réponses Photo
• 01.19 Le Dauphiné Libéré
voyage autour de ma chambre
• 2010.11.06 – 2010.12.18 Le Vecteur (Charleroi, Belgique)
Une exposition déraisonnable proposée par Olivier Smolders sur le thème des cabinets de curiosités : peintures, objets, films, photographies, sculptures, dessins, curiosités sur le cinéma, les insectes, le surréalisme, les femmes et mille autres sujets indémodables.
avec Quentin & Michel Smolders, Jean-François Spricigo, Pascaline Wollast, Vincent Fleury, Christian Bussy, Nicolas Chevalier.